Ten years ago, former French prime minister Dominique de Villepin argued France’s opposition to the Iraq at the United Nations. He is now worried about France’s military mission to Mali, saying Paris has failed to heed the lessons of history.
By Tony Todd (text)
Former French prime minister Dominique de Villepin has warned that military intervention in Mali risked dragging the country into an interminable conflict in the former French colony, was ill thought-out, and “not the French way”.
In an editorial for the Sunday newspaper, Le Journal du Dimanche, Villepin compared France’s mission to stem Islamist advances into southern Mali to “a decade of lost wars in Afghanistan, Iraq and Libya”.
Villepin is one of France’s most venerable diplomats, famous for his speech to the United Nations in 2003 that passionately outlined France’s case against the US invasion of Iraq.
In this Sunday's editorial, the former prime minister, who attracted the scorn of the US leadership for his country’s firm “Non” to the Iraq War, demanded: “How has the neo-conservative virus been able to infect our outlook?
“This unanimous enthusiasm for war, the haste with which we’re doing it, and the déjà-vu of ‘war on terror’, worries me.
“We will be fighting blind without any reason for actually going to war. Stopping the jihadists from moving south, reconquering the north of the country and eradicating AQIM [Al-Qaeda in the Islamic Maghreb] are all completely separate war aims.”
Villepin went on to decry the weakness of the Bamako-based Malian government, which was the victim of a military coup in March 2012 that precipitated the Islamist conquest of the vast northern half of the country.
“We will be fighting alone without a reliable Malian partner,” he said. “With the removal of the Malian president in March and its prime minister in December, with the collapse of the deeply divided Malian army, and amid the wholesale failure of the Malian state, who can we rely on for backup?”
France was wholly lacking in regional partners, he added, citing reticence from Algeria, another former French colony that shares a huge desert border with northern Mali, as well as the failure of the Economic Community Of West African States (ECOWAS) to respond to the crisis.
Only politics and dialogue could save Mali from its woes, he argued, saying the only viable solution was to rebuild the country while encouraging regional partners – notably ECOWAS and Algeria – to step up efforts to restore order to the lawless Sahel region.
“What is needed is a political effort to negotiate with the various parties while isolating the Islamists and bringing the Touareg [nomadic tribes of the Sahel] together towards a reasonable solution,” Villepin wrote.
He concluded that since the Iraq War, he had “not stopped arguing for political resolution of crises away from the vicious cycle of armed force”.
“Today, our country can open a way to get us out of the warlike impasse we find ourselves in, if we can come up with a new model of engagement based on the realities of history, on peoples’ aspirations and with respect for their identities,” he wrote.
“This is France’s responsibility to history.”
Villepin’s was the only strong voice of opposition against France’s intervention in Mali until Monday, when far-left leader Jean-Luc Mélenchon complained that France was acting unilaterally and beyond a UN-mandated plan for ECOWAS to deploy troops to retake northern Mali from the rebels in the coming months.
“The UN mandate stipulated that this was an African problem to be resolved by Africans,” he told reporters. “Doesn’t Algeria, which shares a border with Mali, have an extremely advanced army?
“Resolving this situation is a job for Africans. They’re grown-ups, they have real countries, but yet again we find ourselves going back to our old bad habits of intervening here and there on the continent. We haven’t learned a single lesson.”
L'ESSENTIEL Au cinquième jour de l’opération «Serval» lancée pour repousser les jihadistes qui occupent le Nord-Mali, la France, en première ligne, poursuit ses frappes. Celles-ci atteignent leur cibles, assure François Hollande. Les jihadistes se sont repliés, quittant les grandes villes qu’ils occupaient, mais ils menacent de «frapper le cœur de la France». Les contingents envoyés par les pays de la Cédéao arrivent au compte-goutte. En déplacement à Dubaï ce mardi, le président François Hollande a précisé les objectifs de l'intervention française au Mali, destinée à aider le pays à «recouvrer son intégrité territoriale», tout en réaffirmant sa volonté de venir en aide aux otages qui y sont détenus.
Intervenir, la «seule solution» C'est depuis Dubaï que le président français François Hollande a fait le point ce mardi sur l'intervention au Mali. L'opération «Serval» était «la seule solution», a-t-il dit. Elle est destinée à «arrêter l’agression» des islamistes, à sécuriser Bamako et à préserver l’intégrité territoriale du pays, a précisé le président au cours d'une conférence de presse, réaffirmant vouloir tout faire pour libérer les otages détenus au Mali.«J’y pense à chaque instant mais j’ai considéré que l’intervention était la seule solution. Nous ferons tout pour qu’ils puissent être libérés. Ceux qui les ont capturés, détenus doivent réfléchir. Il est encore temps de les rendre à leur famille», a déclaré François Hollande. «La France n’a pas vocation à rester au Mali mais nous avons en revanche un objectif, c’est de faire en sorte que lorsque nous partirons il y ait une sécurité au Mali, des autorités légitimes, un processus électoral et plus de terroristes qui menacent» l’intégrité du Pays, a-t-il encore dit. Sur le terrain La France a mené dans la nuit de lundi à mardi de nouvelles frappes. Elles «ont atteint leur objectif», a assuré le président François Hollande, en déplacement aux Emirats arabes unis. Le chef de l'Etat souligne aussi que, contrairement à ce qui avait été annoncé hier lundi, «les terroristes n’ont pas conquis» la petite ville de Diabali «mais s’y sont réfugiés pour se protéger». L'aviation française a bombardé dans la nuit cette localité à 400 km de Bamako, tuant plusieurs jihadistes, selon des témoins. Le porte-parole du groupe islamiste Ansar Dine a reconnu un «retrait tactique», selon des propos publiés sur le site d’informations mauritanien Alakhbar (proche des islamistes mauritaniens). Quel est le bilan ? Difficile à ce stade de le savoir précisément. Le gouvernement malien a fait état de 11 morts et une soixantaine de blessés dans les rangs des militaires maliens, et d’un militaire français mort des suites de ses blessures reçues lors des opérations. Côté jihadistes, au moins une soixantaine ont été tués dimanche à Gao, sans doute bien plus depuis. Le nombre de réfugiés chassés par le conflit approche les 150 000 personnes dans les pays voisins, selon le Haut Commissariat aux réfugiés des Nations unies (HCR), et le nombre de personnes déplacées dans le pays est proche de 230 000, a précisé le bureau de coordination des Affaires humanitaires de l’ONU. Quels sont les moyens français ? A ce stade, 750 militaires français sont engagés dans l’opération. Ce chiffre sera porté à 2 500. Une colonne d’une quarantaine de véhicules blindés français venus de Côte-d’Ivoire est arrivée dans la nuit de lundi à mardi à Bamako. Les Forces spéciales ont également été engagées. La défense ne communique pas sur leur nombre. Côté aérien, le nombre d’avions de combat basé à N’Djamena dans le cadre du détachement Epervier a été porté à huit : deux Mirage F1CR et six Mirage 2000D. Trois avions ravitailleurs C135 sont également mobilisés, en plus des appareils de transport. Des Rafale mis en état d’alerte peuvent intervenir directement depuis la France, comme cela a été le cas dimanche près de Gao, où quatre de ces chasseurs ont détruit des camps d’entraînement et des dépôts logistiques des groupes islamiste armés. Six d’entre eux stationnés à Abou Dhabi sont notamment mobilisables. Le déploiement des quatre Rafale, dimanche. (Vidéo postée par l'armée française) Enfin, des hélicoptères de combat, notamment des Gazelle équipés de missiles Hot et de canon de 20 mm, ont également été engagés dans la région de Konna. Renforts de la Cédéao Les pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cédéao) commencent à acheminer leurs hommes vers le Mali. Ce déploiement pourrait prendre une semaine. Ce mardi, le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault a confirmé que les forces africaines devraient être déployées «d'ici une semaine». Le Nigeria doit fournir 600 hommes. Niger, Burkina Faso, Togo et Sénégal ont également annoncé l’envoi chacun d’environ 500 hommes, le Bénin 300, le Ghana 120 militaires spécialistes du génie et la Guinée 144, selon les informations recueillies par l'AFP. Au total, environ 3 000 hommes devraient prendre le relais de la France. Appui occidental a minima Les Britanniques ont mis à disposition deux avions de transport, mais n’envisagent pas de forces au sol. Pas plus que l’Allemagne, qui étudie une aide «logistique, médicale». La Belgique s’apprêtait mardi à proposer l’envoi de deux avions C-130 et d’un hélicoptère médicalisé. Les Etats-Unis apportent un appui en termes de renseignement. Sur le front diplomatique La France, qui a pris les devants vendredi eu égard à l’urgence de la situation et à l'appel à l'aide des autorités maliennes, s’active pour avoir le soutien de l’ONU et des autres pays. Si la communauté internationale affiche d'une manière générale son soutien de principe à l'opération, sur le terrain les renforts ne se bousculent pas. La déclaration de l'ambassadeur français Gérard Araud après la réunion du Conseil de sécurité de l'ONU cette nuit. Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a apporté hier son soutien à l'opération, soulignant «l’urgence d’appliquer tous les aspects» de la résolution 2085 de l’ONU du 20 décembre sur le Mali (texte de la résolution en pdf ici). Le représentant spécial de l’ONU pour l’Afrique de l’Ouest, Said Djinnit, doit se rendre à Bamako. Une réunion exceptionnelle des ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne doit également se tenir cette semaine, probablement se tenir jeudi à Bruxelles. En France, un débat sans vote aura lieu demain mercredi après-midi au Parlement sur la situation au Mali, simultanément à l’Assemblée nationale et au Sénat, Jean-Marc Ayrault représentant le gouvernement dans la première chambre et Laurent Fabius dans la seconde. Des auditions sont prévues ce mardi. POUR ALLER PLUS LOIN • Qui sont les différents groupes jihadistes et touaregs et que veulent-ils ? Notre décryptage. • Comment les Américains ont loupé leur coup au Mali : La mauvaise pioche de Washington. • Notre analyse sur la stratégie militaires française. • Notre reportage à Ségou, ville natale du putschiste Sanogo. • Et tous nos articles sur le guerre au Mali dans notre dossier spécial. SUR LES RÉSEAUX Suivre les comptes Twitter de notre correspondant au Mali, Fabien Offner, @fabienoff, celui de Omar Ouahmane, l’envoyé spécial de Radio France au Mali @ouahmaneomar, et en anglais @Doylebytes, le correspondant de la BBC. La plupart des journalistes et photoreporters restent pour l'heure bloqués dans la partie sud du pays. ALLER PLUS LOIN Lire tous les articles du dossier La France en guerre au Mali
Le Mali, pays ami, s’effondre. Les djihadistes avancent vers le sud, l’urgence est là.
Mais ne cédons pas au réflexe de la guerre pour la guerre. L’unanimisme des va-t-en-guerre, la précipitation apparente, le déjà-vu des arguments de la "guerre contre le terrorisme" m’inquiètent. Ce n’est pas la France. Tirons les leçons de la décennie des guerres perdues, en Afghanistan, en Irak, en Libye.
Jamais ces guerres n’ont bâti un Etat solide et démocratique. Au contraire, elles favorisent les séparatismes, les Etats faillis, la loi d’airain des milices armées.
Jamais ces guerres n’ont permis de venir à bout de terroristes essaimant dans la région. Au contraire, elles légitiment les plus radicaux.
Jamais ces guerres n’ont permis la paix régionale. Au contraire, l’intervention occidentale permet à chacun de se défausser de ses responsabilités.
Pire encore, ces guerres sont un engrenage. Chacune crée les conditions de la suivante. Elles sont les batailles d’une seule et même guerre qui fait tache d’huile, de l’Irak vers la Libye et la Syrie, de la Libye vers le Mali en inondant le Sahara d’armes de contrebande. Il faut en finir.
Au Mali, aucune des conditions de la réussite n’est réunie.
Nous nous battrons à l’aveuglette, faute de but de guerre. Arrêter la progression des djihadistes vers le sud, reconquérir le nord du pays, éradiquer les bases d’AQMI sont autant de guerres différentes.
Nous nous battrons seuls, faute de partenaire malien solide. Eviction du président en mars et du premier ministre en décembre, effondrement d’une armée malienne divisée, défaillance générale de l’Etat, sur qui nous appuierons-nous?
Nous nous battrons dans le vide, faute d’appui régional solide. La Communauté des Etats de l’Afrique Occidentale reste en arrière de la main et l’Algérie a marqué ses réticences.
Un processus politique est seul capable d’amener la paix au Mali.
Il faut une dynamique nationale pour reconstruire l’Etat malien. Misons sur l’union nationale, les pressions sur la junte militaire et un processus de garanties démocratiques et de l’Etat de droit à travers des politiques de coopération fortes.
Il faut aussi une dynamique régionale, en mobilisant l’acteur central qu’est l’Algérie et la CEDEAO en faveur d’un plan de stabilisation du Sahel.
Il faut enfin une dynamique politique pour négocier en isolant les islamistes en ralliant les touaregs à une solution raisonnable.
Comment le virus néoconservateur a-t-il pu gagner ainsi tous les esprits? Non, la guerre ce n’est pas la France. Il est temps d’en finir avec une décennie de guerres perdues. Il y a dix ans, presque jour pour jour, nous étions réunis à l’ONU pour intensifier la lutte contre le terrorisme. Deux mois plus tard commençait l’intervention en Irak. Je n’ai depuis jamais cessé de m’engager pour la résolution politique des crises et contre le cercle vicieux de la force. Aujourd’hui notre pays peut ouvrir la voie pour sortir de l’impasse guerrière, si elle invente un nouveau modèle d’engagement, fondé sur les réalités de l’histoire, sur les aspirations des peuples et le respect des identités. Telle est la responsabilité de la France devant l’histoire.
Dominique de Villepin samedi 12 janvier 2013
(転載ここまで)
もう一つメモ。 ●RMC Hollande et le Mali, jusqu’où ? Le pouvoir a basculé dans la guerre. La poursuite des opérations militaires au Mali est devenue la préoccupation première de François Hollande. http://www.rmc.fr/editorial/338716/hollande-et-le-mali-jusqu-ou/ Jean-François Achilli | RMC.fr | 15/01/2013
検察の起訴した事件の有罪率が99%、本当に99%が有罪なのか?
そんなことは閉口日中国交正常化50年に寄せて中国とホンジュラスの国交樹立を歓迎するアメリカの裏庭といわれた中南米のホンジュラスが3月26日アメリカの圧力、妨害をはねのけ新中国との国交樹立を発表しました。
心より歓迎したいと思います。
アメリカの閉口孤独の中で援助もなく死産した技能実習生のベトナム人女性は何も罪を犯していない。リンさんへの逆転無罪判決を歓迎2023年3月24日,最高裁は死体遺棄罪に問われていたレー・ティ・トゥイ・リンさんに逆転無罪判決を下しました。これでリンさんの無罪が確定しました。たまには最高裁もまとTakeshi袴田巌さんの完全無罪を勝ち取り、無罪の者を無理に有罪にして真犯人を逃がした検察の過ちと暴力を解明すべき。冤罪と死刑 過去にトンデモ発言をした萱野稔人・津田塾大学教授ですが,死刑についてはまともな議論をしていると思います。「死刑 その哲学的考察」(萱野稔人/ちくま新書)から一Takeshi差別主義経営者のいるホテルチェーンと日本サッカー連盟との不適切なナショナルチームパートナー契約他人を出汁にする人間前コメントの未来さんのおっしゃる様に、誰かを嫌な気持ちにさせてやりたい攻撃性がある人ばかりが、目立ちます。
最近、そうなったのか、あるいは以前からそうだったのかK.Minaイギリスでは嘘の答弁をしたら議員失職になる可能性があるそうです。日本の自民党政府も、そうあるべきです。自民党議員が半分そんな事が日本でも適用されたら、自民党議員は半分になってしまいますね(爆笑)
忘れてました…維新もです(爆笑)
どちらも大将から嘘つきですから。K.Mina日本国と日本人が大日本帝国軍性奴隷制度(従軍慰安婦制度)という蛮行の史実を記憶して二度と繰り返さないために反省しないなら、日本人以外の人々がかつての日本の蛮行を記憶する。カッセル大学で「平和の少女像」が撤去された。ドイツ中部の州立大学、カッセル大のキャンパスにあった「平和の少女像」が2023年3月9日,突然撤去されました。旧日本軍の慰安婦被害者を象徴する少女像は昨年7月,同大学Takeshi袴田巌さんの完全無罪を勝ち取り、無罪の者を無理に有罪にして真犯人を逃がした検察の過ちと暴力を解明すべき。冤罪による処刑阻止のために死刑廃止が絶対に必要。「冤罪袴田事件 検察庁は再審開始を認めた東京高裁決定に対して特別抗告をしないでください」のアクションに賛同した私は,電子署名を行いました。先日,弁護団の戸舘圭之Takeshi袴田巌さんの完全無罪を勝ち取り、無罪の者を無理に有罪にして真犯人を逃がした検察の過ちと暴力を解明すべき。No title今回の袴田さんの再審決定の件を、メディア(特にTV)がWBCで過剰に騒いでかき消しているように見えてならないです。
冤罪を生み続ける警察・検察を徹底的に批判して、今後月乃兎袴田巌さんの完全無罪を勝ち取り、無罪の者を無理に有罪にして真犯人を逃がした検察の過ちと暴力を解明すべき。No title>検察を起訴し検察を有罪にすべきだとすら思います。
全く同感です。yoshi袴田巌さんの完全無罪を勝ち取り、無罪の者を無理に有罪にして真犯人を逃がした検察の過ちと暴力を解明すべき。No title『袴田巌さんの完全無罪を勝ち取り、無罪の者を無理に有罪にして真犯人を逃がした検察の過ちと暴力を解明すべき。』に対する意見
http://muranoserena.blog91.fc2.com/blogewkefc自民党の城内実・衆議院議員から国連人権弁務官への攻撃発言がひどすぎるNo title杉田水脈を総務政務官に任命したのも絶句でしたが、よりによってこいつにLGBT特命委員会事務局長をやらせる岸田文雄の思考法が全く理解できない
自民党LGBT特命委員会事務名乗るほど者ではありませんが差別主義経営者のいるホテルチェーンと日本サッカー連盟との不適切なナショナルチームパートナー契約日本は永遠に「差別主義者が幅を利かす国」なんだろうな。これはWBCでの一幕なのですが、旭日旗を振り回して悦に入る日本人……
旭日旗がどのようなものなのか理解していればこんなことには、とも以前は思っていたのですが、どうも最未来バイデン米大統領は「未来永劫謝罪する義務を未来の世代に課してはならない」とは言わずに、今年も第二次大戦中の日系アメリカ人強制収用と公民権剥奪について反省と謝罪を新たにした。 #国家としての謝罪決して謝罪しないアメリカが謝罪した希少例ヒトラー・ナチスの手本は、米国の黒人差別法と先住民の強制収容所だった。
http://tmmethod.blog.fc2.com/blog-entry-1123.html
優生学の親玉アメリカ問題は、それを巨大檜原転石ヘイト批判記事を書いた神奈川新聞の石橋学記者を「名誉棄損」として一部敗訴させた横浜地裁判決はおかしい。石橋記者の話を聞きます石橋記者を講師にオンライン講演会をします。
詳しくは
https://jcjkikansh.exblog.jp/32922330/ywatari4障害者自立支援法訴訟、和解へ重度の障がいを持って生まれた子の養子縁組 NPO法人みぎわは,障がいを持って生まれてくる赤ちゃんの特別養子縁組をあっせんする日本で唯一の施設です。中絶は年間20万件ほどあるそうです。協力病院の産婦人科医師Takeshi死刑FAQ (適宜更新)袴田巌さんの一刻も早い無罪を切望する。 2023年3月13日, 東京高裁は「無実の死刑囚・袴田巌さん」の再審開始を決定しました。決定で注目すべきは、決定理由中に,「捜査機関が証拠を捏造した可能性が極めて高いTakeshi自民党政府の作る行政文書は、自民党幹部世耕弘成氏によれば、真正・真実であるとは限らないらしい #自民党に投票するからこうなる#自民党に投票するからこうなる安倍チルドレンの高市氏は、総務大臣だった当時「行政指導に従わない放送局は電波停止にする」という恫喝発言で大炎上を巻き起こしました。
今回の文書の内容はこの恫喝発閉口強制ではなく任意であるはずの #マイナンバーカードの義務化に反対します #保険証廃止はありえない #保険証廃止の閣議決定に抗議します (2)自民党の十八番自民党の十八番
当初は任意であるといっておきながらいざ決定となると強制にしてしまうのが自民党のやり方です。
思い出されるのは1999年に成立した国旗国歌法、大日本閉口WHO(世界保健機関)が日本人事務局長を人種差別的言動を理由に解任人種差別発言あれこれ 葛西健の人種差別発言とは,
フィリピンにある事務局での地元フィリピン人スタッフに詰問。
「太平洋地域の人々を何人殺してきたんだ?そして,さらに何人殺したいんTakeshi強制ではなく任意であるはずの #マイナンバーカードの義務化に反対します #保険証廃止はありえない #保険証廃止の閣議決定に抗議します (2)No title 現在、市町村でマイナンバーカードを交付する際には、裏面のマイナンバー、性別、臓器提供の意思表示部分を隠すためのビニールのカバーを一緒につけています。ところが、クテシフォン議員定数を減らすと真っ先に被害を受けるのは誠実な政治を行なう政治家や政党である (大阪の例)No title「議員定数」…地方でも身分・収入が保証されれば「土建屋」だけでなくシングルマザーの方などの参政権も平等なる、否、弱者こそが政治に物申す制度を構築していかなければ月乃兎건곤감리 乾坤坎離 (独立運動記念日)/ 다이아 (DIA ダイア) (不定期連載「気まぐれK-POPプレイリスト」)韓国における過去の歴史の再検討 KPOPの話題からは外れますが,韓国における過去の歴史を再検討する16の法令が施行されていることを紹介したいと思います。
【日本の植民地支配関連】
東学農民革命Takeshi強制ではなく任意であるはずの #マイナンバーカードの義務化に反対します #保険証廃止はありえない #保険証廃止の閣議決定に抗議します (2)税申告書先日、所得税確定申告を済ませました。税理士にお願いしました。申告書にはマイナンバー記入欄がありますが、毎年記入していません。それによるお咎め、例えば税務署からの苗とともに国際女性デー (追記あり)今年の国際女性デー近辺のできごと3月8日は国際女性デーですが,その近辺で日本で起きたことは。
3月7日,高市早苗に捏造呼ばわりされた放送法にかかる文書が公文書であることを自民党政府が認めた。
Takeshi自民党政府の作る行政文書は、自民党幹部世耕弘成氏によれば、真正・真実であるとは限らないらしい #自民党に投票するからこうなる自民党が言っていることは支離滅裂 高市早苗も世耕弘成も公文書として外形は真性だが、自分に関する記述はウソだと言いだしました。いったい官僚が内容虚偽の文書を作って何の実益があるのでしょうか。公務Takeshi議員定数を減らすと真っ先に被害を受けるのは誠実な政治を行なう政治家や政党である (大阪の例)No title『議員定数を減らすと真っ先に被害を受けるのは誠実な政治を行なう政治家や政党である (大阪の例)』に対する意見
http://muranoserena.blog91.fc2.com/blog-entry-9016.ewkefc自民党政府の作る行政文書は、自民党幹部世耕弘成氏によれば、真正・真実であるとは限らないらしい #自民党に投票するからこうなる自民に政権担当能力もガバナンスもない「小西議員は捏造でないことを証明しろ」と高市が喚いていますね。
予想の範囲内とされている「ゴールポストの移動」を盛大にやって「何が楽しいんだ」と怒りが湧きます。アンドリュー・バルトフェルド強制ではなく任意であるはずの #マイナンバーカードの義務化に反対します #保険証廃止はありえない #保険証廃止の閣議決定に抗議しますNo titleポイントで釣って、今度はアニメのキャラクターで押し売りする姿勢に呆れます。
引っ越しだ何だと便利だからと言って「一生のうちにどれだけ必要なんだ」、「手続きの為にアンドリュー・バルトフェルド維新の嘘の例。維新の悪政を漂白して維新ロンダリングをする不甲斐ない報道業者。 #維新に騙されるな #マスメディアへの不満 #マスメディアへの不信No title教育の無償化をはじめこれ程維新が嘘をついてるとは思いませんでした。yoshi